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Une Stratégie nationale portuaire pour la France

Adoptée par le Comité interministériel de la mer, la Stratégie affiche un « objectif clair de reconquête de parts de marché et de développement économique des ports, à horizon 2025-2050 » décliné en quatre ambitions : performance des chaines logistiques, développement économique, transition écologique, innovation et numérique. La nouvelle stratégie nationale portuaire vise notamment à faire des ports des accélérateurs de la transition écologique et à atteindre les objectifs de neutralité carbone des transports à horizon 2050 par les autorités portuaires.

Près de 50% des trafics totaux des grands ports maritimes sont encore constitués d’hydrocarbures et de charbon.

Les ports, intégrateurs d’activités multiples, constituent des lieux privilégiés d’accélération de la transition écologique des territoires en développant notamment des solutions d’avitaillement en carburants alternatifs aux navires et bateaux, des modèles d’économie circulaire et d’écologie industrielle, des projets de transition énergétique des zones industrialo-portuaires ou encore l’acheminement des marchandises par les voies ferroviaires et fluviales.

Les ambitions affichées se traduisent par l’accélération de la transition écologique des ports, avec notamment :

  • Une production et une fourniture multi-énergies propres pour offrir un approvisionnement en carburants alternatifs pour les navires dans le cadre d’un schéma national.
  • La création d’un écolabel sur les flux logistiques et portuaires pour valoriser l’ensemble des chaînes logistiques vertueuses qui utilisent les ports français.
  • Le développement d’une économie circulaire et d’une approche d’écologie industrielle.
  • La définition, par chaque autorité portuaire, d’une trajectoire de transition écologique. Elle comprendra la fourniture d’offres d’avitaillement en carburants alternatifs pour les navires, de services de branchement électrique des navires à quai et de solutions de production d’hydrogène pour les besoins de l’écosystème industriel portuaire et des petits navires et bateaux.

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1 Act for energy transition

Adoptée par le Comité interministériel de la mer, la Stratégie affiche un « objectif clair de reconquête de parts de marché et de développement économique des ports, à horizon 2025-2050 » décliné en quatre ambitions : performance des chaines logistiques, développement économique, transition écologique, innovation et numérique. La nouvelle stratégie nationale portuaire vise notamment à faire des ports des accélérateurs de la transition écologique et à atteindre les objectifs de neutralité carbone des transports à horizon 2050 par les autorités portuaires.

Près de 50% des trafics totaux des grands ports maritimes sont encore constitués d’hydrocarbures et de charbon.

Les ports, intégrateurs d’activités multiples, constituent des lieux privilégiés d’accélération de la transition écologique des territoires en développant notamment des solutions d’avitaillement en carburants alternatifs aux navires et bateaux, des modèles d’économie circulaire et d’écologie industrielle, des projets de transition énergétique des zones industrialo-portuaires ou encore l’acheminement des marchandises par les voies ferroviaires et fluviales.

Les ambitions affichées se traduisent par l’accélération de la transition écologique des ports, avec notamment :

  • Une production et une fourniture multi-énergies propres pour offrir un approvisionnement en carburants alternatifs pour les navires dans le cadre d’un schéma national.
  • La création d’un écolabel sur les flux logistiques et portuaires pour valoriser l’ensemble des chaînes logistiques vertueuses qui utilisent les ports français.
  • Le développement d’une économie circulaire et d’une approche d’écologie industrielle.
  • La définition, par chaque autorité portuaire, d’une trajectoire de transition écologique. Elle comprendra la fourniture d’offres d’avitaillement en carburants alternatifs pour les navires, de services de branchement électrique des navires à quai et de solutions de production d’hydrogène pour les besoins de l’écosystème industriel portuaire et des petits navires et bateaux.